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Environnement

  • Les Agriculteurs sur PARIS

    Un soutient pour les petits et moyens agriculteurs ! Ceux qui nous nourrissent et qui maintiennent une alimentation de qualité et un mode de culture sain.

    http://www.ouest-france.fr/node/3655572

    Les agriculteurs des côtes d'Armor, du Finistère, d'Ille et Vilaine et du Morbihan se sont retrouvés à la Piverdière à Rennes avant de prendre la rocade Sud, direction Paris. Jeudi 3, environ 1500 tracteurs sont attendus à Paris.

     

  • “Remuer la terre, c’est remuer les consciences »

    film de Eric Oriot , sur trois jours de rencontres, de débats et de découvertes autour de l’agriculture urbaine et de la biodiversité organisés à Paris par Natureparif.

     

     

     

     

    http://www.dailymotion.com/video/x2cnu34_remuer-la-terre-c-est-remuer-les-consciences_news?start=5

     

     

  • Comment les loups changent les rivières

    Pas évident à première vue de faire le lien entre la réintroduction des loups et la nature du paysage!!

  • Comment manger du poisson sans s'intoxiquer au mercure

    Poissons & Mercure.jpg

    bOF BOf, l'environnement s'en prend plein le portrait ...et nous aussi

    Infos tirés de http://www.notre-planete.info/actualites/3653-poisson_mercure_sante

     

  • "...les îlots de résistance sont des îlots d’espérance"

     Remi Fraisse, victime d’une guerre de civilisation

    LE MONDE |  04.11.2014 à 14h38  |Par Edgar Morin (Sociologue et philosophe)

     

     

    A l’image d’Astérix défendant un petit bout périphérique de Bretagne face à un immense empire, les opposants au barrage de Sivens semblent mener une résistance dérisoire à une énorme machine bulldozerisante qui ravage la planète animée par la soif effrénée du gain. Ils luttent pour garder un territoire vivant, empêcher la machine d’installer l’agriculture industrialisée du maïs, conserver leur terroir, leur zone boisée, sauver une oasis alors que se déchaîne la désertification monoculturelle avec ses engrais tueurs de sols, tueurs de vie, où plus un ver de terre ne se tortille ou plus un oiseau ne chante.

     

    Cette machine croit détruire un passé arriéré, elle détruit par contre une alternative humaine d’avenir. Elle a détruit la paysannerie, l’exploitation fermière à dimension humaine. Elle veut répandre partout l’agriculture et l’élevage à grande échelle. Elle veut empêcher l’agro-écologie pionnière. Elle a la bénédiction de l’Etat, du gouvernement, de la classe politique. Elle ne sait pas que l’agro-écologie crée les premiers bourgeons d’un futur social qui veut naître, elle ne sait pas que les « écolos » défendent le «vouloir vivre ensemble».

     

    Elle ne sait pas que les îlots de résistance sont des îlots d’espérance. Les tenants de l’économie libérale, de l’entreprise über alles, de la compétitivité, de l’hyper-rentabilité, se croient réalistes alors que le calcul qui est leur instrument de connaissance les aveugle sur les vraies et incalculables réalités des vies humaines, joie, peine, bonheur, malheur, amour et amitié.

     

    Le caractère abstrait, anonyme et anonymisant de cette machine énorme, lourdement armée pour défendre son barrage, a déclenché le meurtre d’un jeune homme bien concret, bien pacifique, animé par le respect de la vie et l’aspiration à une autre vie.

     

    Nouvel avenir

     

    A part les violents se disant anarchistes, enragés et inconscients saboteurs, les protestataires, habitants locaux et écologistes venus de diverses régions de France, étaient, en résistant à l’énorme machine, les porteurs et porteuses d’un nouvel avenir.

     

    Le problème du barrage de Sivens est apparemment mineur, local. Mais par l’entêtement à vouloir imposer ce barrage sans tenir compte des réserves et critiques, par l’entêtement de l’Etat à vouloir le défendre par ses forces armées, allant jusqu’à utiliser les grenades, par l’entêtement des opposants de la cause du barrage dans une petite vallée d’une petite région, la guerre du barrage de Sivens est devenue le symbole et le microcosme de la vraie guerre de civilisation qui se mène dans le pays et plus largement sur la planète.

     

    L’eau, qui, comme le soleil, était un bien commun à tous les humains, est devenue objet marchand sur notre planète. Les eaux sont appropriées et captées par des puissances financières et/ou colonisatrices, dérobées aux communautés locales pour bénéficier à des multinationales agricoles ou minières. Partout, au Brésil, au Pérou, au Canada, en Chine… les indigènes et régionaux sont dépouillés de leurs eaux et de leurs terres par la machine infernale, le bulldozer nommé croissance.

     

    Dans le Tarn, une majorité d’élus, aveuglée par la vulgate économique des possédants adoptée par le gouvernement, croient œuvrer pour la prospérité de leur territoire sans savoir qu’ils contribuent à sa désertification humaine et biologique. Et il est accablant que le gouvernement puisse aujourd’hui combattre avec une détermination impavide une juste rébellion de bonnes volontés issue de la société civile.

     

    Pire, il a fait silence officiel embarrassé sur la mort d’un jeune homme de 21 ans, amoureux de la vie, communiste candide, solidaire des victimes de la terrible machine, venu en témoin et non en combattant. Quoi, pas une émotion, pas un désarroi ? Il faut attendre une semaine l’oraison funèbre du président de la République pour lui laisser choisir des mots bien mesurés et équilibrés alors que la force de la machine est démesurée et que la situation est déséquilibrée en défaveur des lésés et des victimes.

     

    Ce ne sont pas les lancers de pavés et les ­vitres brisées qui exprimeront la cause non violente de la civilisation écologisée dont la mort de Rémi Fraisse est devenue le ­symbole, l’emblème et le martyre. C’est avec une grande prise de conscience, capable de relier toutes les initiatives alternatives au productivisme aveugle, qu’un véritable hommage peut être rendu à Rémi Fraisse.

     

  • Changeons d'energie

    Campagne Greenpeace

    Mise en valeur des energies propres.

     

  • Festival des Jeunes Pousses 2010

    Petite visite en images. C'était Bien ! c'était Vert !

     

  • Action écologique

    ...le début d'une confrontation mondiale ?!

    Quand on voit la violence avec laquelle les pêcheurs de thon s'activent sur Greenpeace , ajoutez y les nombreux "problèmes auditifs" du gouvernement ; on est en droit de se dire : "bah mon vieux, c'est mal barré pour l'environnement !".

    J'imagine que les associations de sauvegarde de l'environnement  ne resteront pas toujours pacifique. Pour moi nous sommes à un tournant _ la diplomatie en perte de vitesse_ ... pas loin d'une confrontation mondiale écologique.

  • Greenpeace violemment agressé par les pêheurs de thon rouge

    Un des militants de Greenpeace presant pour lutter pour la sauvergarde du thon rouge vient etre sauvagement par les  pêcheurs pilleurs.qui n'ont décidement rien compris... que feront ils quand ils n'y aura plus de thon ? Ils mourront.

    Ecoutez bien , le pêcheur traiter le gars de Greenpeace de "fils de pute" après lui avoir transpercé la jambe d'un harpon...Trop cool les enfoirés!

     

  • Stop à l'huile de palme

    Greenpeace tente,encore un fois, d'attirer l'attention sur les conséquences de l'activité industrielle occidentale; extrêmement destructrices pour l'environnement . Toujours plus de profit; pour une qualité moindre et surtout une insouciance totale pour les intérêts environnementaux de base.

    Ici c'est Nestlé qui prend pour les autres ...fô bien commencer par quelqu'un!

  • Les 4 contre-vérités de Bruno Le Maire sur le thon rouge

    Merci Greenpeace!

    M. Le Maire contre la sauvegarde du thon rouge?

  • Nucléaire; une energie propre??

    voila les quelques mots , que j'ai envoyé au sujet de  l'emission "2000 ans d'histoire" sur France Inter

    Le nucléaire y est présenté comme une énergie alternative, au côté des énergies renouvelables, face aux énergies fossiles !

         

     

    On parle dans votre émission, d’énergies alternatives en parlant de l'énergie nucléaire. On sait très bien aujourd'hui, de quoi il en retourne. Voila une énergie qui nous pollue à petit feu, et rend la Terre définitivement invivable pour l'homme et une grande partie des êtres vivants.

    S'entêter dans une énergie aussi dangereuse dont on ne maitrise ni ses rejets dans la nature, ni ses déchets, relève du crime à grande échelle.

    L'idée que cette énergie soit propre est maintenant une idée fossile. L’idée que vous la relayez est comme une fuite radioactive.

     

  • ZENITUDE

    Parcequ'on en a besoin ...

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    Auvergne 2009
  • Voiture electrique

    La voiture tout elecrtique arrive en 2010.

     

     A quand la ‘tite voiture qui marche uniquement à l’énergie du soleil ?!

     

    ...Ou mieux, qui marche à la chaleur corporelle des occupants…en plus ça motiverait le contact humain !

  • Nouvel élan

    Soyons moins consensuel avec les politiques et les gros industriels

    Il est temps  que les crédits apportés par la population servent l'environnement et l'individu avant les désirs de richesses de certains.

    Une seule voie maintenant, celle du projet commun de tout un peuple pour l'environnement.

    Si ça ne bouge pas, il faudra que chacun bloque ses apports financiers, qui servent cette société qui ne veut pas évoluer dans un sens logique pour l'environnement.

  • Petite pensée Ecologique

    "Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors seulement vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas."

    Prophétie d'un Amérindien Cree

  • film Citoyens de la Terre

  • Greenpeace au salon de l'automobile

    Une action choc et sans violence pour une démonstration des contradictions de notre société.
    ...et de l'enfumage général  de la part des pouvoirs publics et des grosses industries

  • Efficacité énergétique - selon Greenpeace

    Rendre obligatoire la réalisation de 20 % d'économies d'énergie d'ici à 2020 en Europe, la première des solutions.

     

     pour moulte plus d'info Greenpeace.fr


  • STOP! fini ! on ne mange plus de THON rouge

    Selon les spécialistes, la flotte de Méditerranée et d'Atlantique capture en moyenne 50.000 tonnes de thon par an, soit deux fois plus que le niveau de renouvellement de l’espèce !

    La pêche clandestine en plein boom

     

    © AP

    En 20 ans, la biomasse des thons rouges adultes a diminué de 80%.

  • Pollution de bébé par biberon plastique

    La plupart des biberons et certaines tasses pour bébé sont faits de polycarbonate translucide et rigide

    Le problème : le polycarbonate contient du bisphénol-A, un produit chimique oestrogénique et un disruptif hormonal chez les animaux de laboratoire, ce qui veut dire qu’il peut interférer avec la manière dont les hormones guident le développement foetal.

    Plusieurs études ont démontré que le bisphénol-A présent dans le plastique pouvait s’exfiltrer s’il était chauffé ou exposé à des solutions acides ou après une utilisation prolongée  

    Solutions alternatives :

    Quand vous êtes obligé d’utiliser un biberon, choisissez-en plutôt un en verre de sécurité ou en plastique opaque comme le polypropylène (#5) ou le polyéthylène (#1), qui ne contiennent pas de bisphénol-A.

    Source : http://www.delaplanete.org/Conseils-verts.html
  • Biodiversité - la théorie des dOminOs

    Un petit film très court, pondu par la Fondation nicolas Hulot, qui aide à comprendre comment tout et lié

  • Argggg! OGM-phobia!

    Vous pourrez lire dans l’exceeeellente revue « Echo nature » hors série de décembre, quelques articles qui nous éclairent un peu sur les problèmes environnementaux et notamment ceux directement et consciemment lié à l’homme.

    Par exemple dans celui qui traite des OGM par Gille-Éric Séralini :

    Monsanto a créé des sojas, du maïs, du colza, du coton, du blé, de la betterave dits « tolérant au Roundup » (Roundup est le désherbant commercialisé par l’entreprise susnommées)

    « …le terme « résistant » est trop souvent mal employé car le soja ne résiste pas au Roundup, il peut vivre avec ce désherbant sans mourir, il s’en imprègne comme une éponge, même s’il en rejette. Nous en mangeons donc. »

     Les OGM ne présentent donc pas seulement un danger, par leur patrimoine génétique modifié dont on hérite, mais aussi par leur accumulation de produits chimique que l'on ingère au quotidien.

     Mangez Bio, ou si vous en avez un, cultivez votre jardin : c'est pour l'instant le seul moyen d'être sûr de limiter les dégats.

     Joyeux NOGëM!  Hu hu hu!

  • Land Art - Andy Goldsworthy

    Rien que pour la poésie de ces Oeuvres.

    Un montage trés bien fait .

     

  • Se nourrir dans la Nature

    Blog d'un marcheur, qui s'est tenté une randonnée de 15 jours en se nourrissant de plantes  rencontrées au cours de son périple: intéressant!

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  • Des propositions pour l'environnement - Grenelle de l'environnement

    Voici ma proposition posté sur le manifeste de l'environnment de RMC sur un sujet qui me préoccupe et qui je connais bien.

     

    La biodiversité compensée dans les zones d'activités et sauvé dans notre jardin

    Pourquoi ne pas compenser le "grignotage» de notre environnement naturel (dû à l'activité humaine florissante), en réfléchissant à des aménagements paysagés en accord avec les espèces végétales et animales de chaque région.
    On pourrait imaginer qu'une entreprise (ex : grande surface) qui s'installerait sur un territoire jusqu'alors végétalisé, ait l’obligation de paysager ses locaux et ses abords, tout en participant à la continuité, voir l’amélioration de la biodiversité, en réintroduisant des espèces de plantes et d'arbres refuges pour la faune locale.
    Ces « nouveaux espaces verts » contribueraient aussi, à un certain apaisement moral qui manque à nos grandes agglomérations.

    On peut imaginer aussi que dorénavant, une certaine surface de nos jardins soit dédiée à la biodiversité, en plantant certaines espèces végétales et en proscrivant certaines d’entre elles (comme le thuya dans les haies).
    L'équilibre entre plantes ornementales et plantes "utiles" n'est pas contraignant. D'autant que ces plantes riches pour la faune, sont souvent peu coûteuses, peu gourmandes en entretien (puisque endémiques) et souvent très agréables esthétiquement.

    Avant d'être rendues obligatoires, ces mesures pourraient être encouragées par les départements qui ont en charge les compétences environnementales.